< Back to Antisemitism on Campus

En savoir plus : antisémitisme sur le campus

Les administrateurs des universités sont confrontés à des bureaucraties complexes, à des conventions collectives trop ambitieuses et à des protections gouvernementales limitées, ce qui rend difficile la prise en compte des préoccupations de la communauté juive sur le campus. Nombreux sont ceux qui considèrent nos campus comme des terrains propices aux idéologies extrémistes, à la pensée non nuancée et à la rhétorique incompatible avec les valeurs démocratiques canadiennes.  

La liberté académique accordée aux enseignants de nos universités par le biais de la négociation collective est exploitée pour rationaliser les préjugés et les actes de discrimination qui portent atteinte à l'intégrité académique de l'institution. Des professeurs ont ouvertement soutenu le terrorisme, diffusé des informations trompeuses à leurs étudiants et défendu des pratiques discriminatoires sur le campus, tout cela sous le couvert et la protection de la "liberté académique", qui n'est pas illimitée.  

Les syndicats et les clubs d'étudiants sont essentiels à la vie universitaire. par des acteurs malveillants qui détournent l'attention des questions pertinentes pour le corps étudiant au profit d'un conflit qui n'a rien à voir avec leur mandat. Des groupes d'étudiants non ratifiés exercent également une influence indue sur les représentants élus des étudiants, établissant une présence sur le campus où des informations nuisibles sont partagées et contribuant de manière significative à un environnement toxique.

Bien que les cotisations des étudiants perçues par l'institution bénéficient aux syndicats et aux clubs du campus, les universités n'exercent qu'un contrôle limité sur ces derniers. Les étudiants juifs ont ainsi été mis à l'écart des clubs, ont fait l'objet d'un harcèlement persistant et, en raison de la diffusion constante d'informations erronées sur les Juifs et Israël, ne se sentent pas en sécurité lorsqu'ils participent à des événements organisés sur le campus ou dans les clubs. 

Le mouvement BDS continue également de sévir dans les salles de classe et les conseils d'administration de nos campus. Le mouvement BDS diabolise injustement Israël et rejette à la fois les nuances et les faits documentés, notamment le fait que les citoyens arabes israéliens jouissent des mêmes droits et libertés que tous les autres citoyens d'Israël. Le mouvement BDS a pour objectif fondamental de mettre fin au droit du peuple juif à l'autodétermination ; il encourage l'antisémitisme en cherchant à délégitimer Israël - le seul État juif - auprès de la communauté universitaire mondiale et à créer un environnement hostile pour les juifs du monde entier.