"Ce que j'ai observé, c'est que le cabinet du Premier ministre (et le Bureau du Conseil privé, dans une certaine mesure) préférait fortement nommer des personnes ayant un long passé d'activisme en matière de droits de l'homme. Ils étaient bien plus préoccupés par cela que par les compétences juridiques réelles et l'expérience nécessaire pour rédiger des décisions juridiques complexes et quasi-judiciaires, ce qui est une tâche complexe que tous les diplômés de l'école de droit ne peuvent pas accomplir".
CIJA
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05 juillet 2024