Le 12 décembre, la politique étrangère canadienne a fait preuve d'hypocrisie en faisant volte-face, passant d'une déclaration condamnant clairement le Hamas et son rôle dans la perpétration d'actes de violence contre les Israéliens et les Palestiniens à un vote, quelques heures plus tard, en faveur d'une résolution de l'Assemblée générale des Nations unies qui ne mentionnait même pas le Hamas, sans parler de le tenir pour responsable de ses crimes de guerre.
CIJA
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05 janvier 2024